Body positive : comment changer ton rapport au corps grâce à la lithothérapie
- lou1morales1
- il y a 13 heures
- 4 min de lecture
Pourquoi tu te juges autant (et pourquoi ça doit s’arrêter maintenant)
Si tu lis cet article, c’est sûrement que ton miroir n’est pas toujours ton meilleur ami. Et tu n’es pas la seule. Le rapport au corps est devenu un véritable ascenseur émotionnel pour presque toutes les femmes. On grandit dans une société où la minceur est glorifiée, où les rondeurs sont analysées, commentées, scrutées.
Et pourtant… ça n’a jamais aidé personne à s’aimer.
Dans sa vie comme dans la tienne, il y a eu ce moment où aller à la plage, se mettre en maillot ou même dire oui à une invitation devenait un Everest. Se cacher. Se camoufler. Trouver des excuses. Rentrer vite dans l’eau. Surcharger les vêtements.
Tu connais sûrement ces astuces-là. Trop bien même.
Et si ce cycle prenait fin maintenant ?
Quand ton corps change… mais que ton regard met du temps à suivre
Grossir, mincir, stagner, gonfler, dégonfler… Nos corps évoluent sans demander la permission. Maladie, hormones, stress, médicaments, maternité, sommeil, émotions… rien n’est figé.
Tu sais je suis passée d’une silhouette “normale” à 125 kg après une opération de l’endométriose. Mais le poids n’est qu’une donnée.
La vraie difficulté ?
Accepter ce nouveau corps quand tu n’as jamais appris à t’aimer.
Pendant des années ,j’ai décliné des mariages, des sorties, des vacances. Pas par manque d’envie. Par manque de bienveillance envers moi-même.
Et ce schéma, tu le connais peut-être aussi.
La question que personne ne pose : pourquoi faudrait-il avoir “le bon corps” pour vivre ?
A quel moment on a décidé qu’on devait attendre d’être “assez” pour profiter de sa vie ?
Assez mince.
Assez lisse.
Assez ferme.
Assez parfaite.
Quand tu y penses deux secondes… c’est absurde.
Et pourtant on le fait toutes.
Comme tu sais j’ai grandi en Afrique et le regard n’est pas le même.
Les femmes rondes y sont vues comme belles, épanouies, fortes, en bonne santé. On célèbre les corps. On les admire. On les honore.
J’y ai été regardée comme une reine.
En France ? Je me suis senti comme un corps à commenter.
La même personne.
Deux regards.
Deux réalités.
Alors la vraie question, c’est : et si ce qui t’abîme, ce n’est pas ton corps, mais la manière dont tu penses qu’il “devrait être” ?
Les pierres qui mon aidé à changer ce rapport au corps (et comment les utiliser pour toi)
Aucune pierre ne transforme un corps.
Mais certaines t’aident à transformer ton regard.
Et ça, c’est peut-être ce dont tu as le plus besoin.
La cornaline – la pierre du féminin et de l’estime de soi
La cornaline est souvent citée pour la confiance. Mais ce qu’on oublie, c’est qu’elle travaille surtout l’estime.
L’estime de ton corps.
De ton identité de femme.
De ta valeur, qui ne dépend pas de ton poids.
Elle aide à apaiser la relation corps–émotions, à reconnecter au féminin, à se réapproprier son image.
Une pierre incontournable si tu veux, toi aussi, arrêter de t’excuser d’exister.
L’œuf de Yoni – libérer, réconcilier, reconnecter
L’œuf de Yoni n’est pas une pierre “à la mode”.
C’est un travail profond.
Un dialogue entre ton corps et toi.
Une reconnexion au féminin sacré, à la sensualité, à la douceur.
Il aide à libérer ce que tu as gardé pour survivre.
Et à accueillir ce que tu mérites pour vivre.
Le Mala – l’outil qui t’apprend à ralentir (et à te foutre la paix)
Méditer quand on ne sait pas méditer, c’est compliqué.
Le Mala aide à créer ce premier espace pour souffler.
Respirer.
Déposer ce que tu portes.
Et quand tu apprends à te laisser tranquille… tu changes.
Le regard sur ton corps change aussi.
Tu ne cherches plus à le contrôler.
Tu apprends à vivre avec lui, pas contre lui.
Ce que l’acceptation change vraiment (et ce que ça ne change pas)
Acceptation ne veut pas dire abandon.
Ni renoncement.
Ni fatalité.
Acceptation = liberté.
La liberté de vivre maintenant.
La liberté d’aimer ton corps avant qu’il ne devienne comme tu voudrais.
La liberté d’arrêter de remettre ta vie à plus tard.
Parce que la vraie violence, ce n’est pas ton corps.
C’est ce que tu t’empêches de vivre à cause de lui.
Ce que tu ne fais pas.
Les souvenirs que tu ne crées pas.
Les gens que tu ne vois plus.
Les voyages que tu annules.
Les photos où tu n’apparais pas.
Et c’est toi qui en paies le prix. Pas ton corps.
Et si, aujourd’hui, tu décidais que tu n’avais plus rien à prouver ?
Tu es grosse.
Tu es mince.
Tu es musclée.
Tu es molle.
Tu as du ventre.
Tu n’en as pas.
Et alors ?
Tu respires ?
Tu vis ?
Tu veux profiter de demain ?
C’est suffisant.
Le reste, c’est du bruit.
Le message à retenir : vis maintenant. Pas quand tu seras “prête”.
Cesse de t’attendre.
Cesse de te conditionner.
Cesse de te saboter.
La vie ne t’attend pas.
Et ton corps n’a pas besoin d’être corrigé pour mériter un maillot de bain, un voyage ou un sourire.
Alors fais-le. Maintenant.
(Et si quelqu’un te juge… laisse-le gérer ses propres insécurités. Toi, tu n’as plus le temps pour ça.)
Si le sujet du féminin te parle et que tu veux aller plus loin, tu trouveras ce qu’il te faut juste ici :
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